"Les problèmes d'aujourd'hui viennent des solutions d'hier".
Peter Senge.
What's actually the difference between Delirium and Sanity? Honestly, please, think about it and then come back to me...
vendredi 30 décembre 2005
mercredi 28 décembre 2005
Goldbach's conjecture
Goldbach's conjecture asserts that all positive even integers greater or equal to 4 can be expressed as the sum of two primes.
Pi by Leonhard Euler
(Pi x Pi) / 6 = 1 / (1 x 1) + 1 / (2 x 2) + 1 / (3 x 3) + 1 / (4 x 4) + ... + 1 / (n x n) + ...
dimanche 18 décembre 2005
Dilbert - Entretien annuel
Lors d'un entretien annuel (ou encore 'entretien de progrés'), il est de bon ton de citer des potentiels à développer. Si vous ne voulez pas donner le baton pour vous faire battre, Dilbert vous propose quelques thèmes sans risques :
- dans l'intérêt de l'équipe, je dois apprendre à contrôler mon immense intelligence en présence de mes collègues moins privilégiés.
- je dois apprendre à me détendre au lieu de travailler 18 heures par jour.
- il faut que j'entre en contact avec une civilisation extra-terrestre car leur technologie est la seule chose qu'il me reste à comprendre.
- il faut que je devienne moins séduisant afin de ne plus distraire constamment mes collègues.
dimanche 4 décembre 2005
Spiritualité indienne
"Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient".
Stya Saï Baba
Stya Saï Baba
vendredi 2 décembre 2005
Les Nuls - le pouce
"Si l'homme a un pouce, c'est pour qu'il ne tienne pas sa bite comme une cigarette "
Les Nuls - les films de cul
" Moi, les films de cul, j'aime bien me les faire dans une grande sale. "
Dominique Farrugia.
Dominique Farrugia.
Unreasonable man
“The reasonable man adapts himself to the world, the unreasonable one persists in trying to adapt the world to himself. Therefore, all progress depends on the unreasonable man…”
George Bernard Shaw
George Bernard Shaw
mardi 29 novembre 2005
samedi 26 novembre 2005
Dilbert - Les preneurs de risques
Par définition, les preneurs de risques échouent souvent. Les imbéciles aussi. Dans la pratique, il est difficile de les distinguer.
Comment peut-on alors affirmer récompenser les preneurs de risques ?
Comment peut-on alors affirmer récompenser les preneurs de risques ?
Dilbert - Nos problèmes actuels sont liés à la sexualité et au papier
Raisonnement :
Seule une personne sur un million est assez intelligente pour inventer la presse d'imprimerie. Par conséquent, lorsque la société ne comptait que quelques centaines d'antropoïdes troglodytes, les chances pour que l'un d'eux fût un génie étaient relativement faibles. Cela ne les empêchait toutefois pas de faire l'amour. Voir un déviant Géotrouvetout passer à travers les mailles du filet génétique devint, à chaque nouvelle naissance, plus probable. Quand plusieurs millions de personnes courent dans tous les sens à la recherche de relations sexuelles bon gré mal gré, les chances augmentent qu'une anthropoïde se retrouve un jour accroupie au beau milieu d'un champ en train de pondre un déviant, futur inventeur de la presse d'imprimerie.
Avec l'apparition de la presse, notre destin fût scellé. En effet, chaque fois qu'un déviant intelligent a eu une bonne idée, on a pu la mettre noir sur blanc et la diffuser. Chaque nouvelle idée a servi de base à de nouvelles idées. La civilisation a explosé. La technologie est née. La complexité de la vie s'est géométriquement accrue. Tout est devenu plus grand et mieux.
Sauf notre cerveau.
Toute la technologie qui nous entoure, toutes les théories de management, les modèles économiques qui prédisent et guident nos comportements, la science qui nous permet de vivre jusqu'à 80 ans, tout cela est le fruit de l'imagination d'un minuscule pourcentage de personnes intelligentes déviantes. Les autres dépensent toute leur énergie à faire du sur-place.
Le monde est trop complexe pour nous. L'évolution n'a pas suivi. Grâce à l'imprimerie, les déviants intelligents sont parvenus à conserver la trace de leur génie sur le papier et à le communiquer sans avoir à le transmettre par leurs gènes. L'évolution a été court-circuitée. Nous avons reçu la connaissance et la technologie avant l'intelligence.
Notre planète est peuplée de plus de 6 milliards de cornichons qui vivent dans une civilisation conçue par quelques milliers de déviants fabuleusement intelligents.
Seule une personne sur un million est assez intelligente pour inventer la presse d'imprimerie. Par conséquent, lorsque la société ne comptait que quelques centaines d'antropoïdes troglodytes, les chances pour que l'un d'eux fût un génie étaient relativement faibles. Cela ne les empêchait toutefois pas de faire l'amour. Voir un déviant Géotrouvetout passer à travers les mailles du filet génétique devint, à chaque nouvelle naissance, plus probable. Quand plusieurs millions de personnes courent dans tous les sens à la recherche de relations sexuelles bon gré mal gré, les chances augmentent qu'une anthropoïde se retrouve un jour accroupie au beau milieu d'un champ en train de pondre un déviant, futur inventeur de la presse d'imprimerie.
Avec l'apparition de la presse, notre destin fût scellé. En effet, chaque fois qu'un déviant intelligent a eu une bonne idée, on a pu la mettre noir sur blanc et la diffuser. Chaque nouvelle idée a servi de base à de nouvelles idées. La civilisation a explosé. La technologie est née. La complexité de la vie s'est géométriquement accrue. Tout est devenu plus grand et mieux.
Sauf notre cerveau.
Toute la technologie qui nous entoure, toutes les théories de management, les modèles économiques qui prédisent et guident nos comportements, la science qui nous permet de vivre jusqu'à 80 ans, tout cela est le fruit de l'imagination d'un minuscule pourcentage de personnes intelligentes déviantes. Les autres dépensent toute leur énergie à faire du sur-place.
Le monde est trop complexe pour nous. L'évolution n'a pas suivi. Grâce à l'imprimerie, les déviants intelligents sont parvenus à conserver la trace de leur génie sur le papier et à le communiquer sans avoir à le transmettre par leurs gènes. L'évolution a été court-circuitée. Nous avons reçu la connaissance et la technologie avant l'intelligence.
Notre planète est peuplée de plus de 6 milliards de cornichons qui vivent dans une civilisation conçue par quelques milliers de déviants fabuleusement intelligents.
vendredi 25 novembre 2005
Dilbert - Théorie de l'évolution
Au début, il y avait les amibes. Certaines amibes déviantes sont parvenues à mieux s'adapter à leur environnement et sont devenues des singes. Et puis on est passé au management par la Qualité Totale.
Dilbert - Absurdité 2
Une société décide de ne pas accorder d'augmentations mais de verser des primes à son personnel s'il atteint 5 des 7 objectifs fixés.
A la fin de l'année, les employés sont informés qu'ils ne toucheront pas de primes car ils n'ont atteint que 4 objectifs. Parmi les objectifs à côté desquels ils sont passés : le "moral des employés".
A la fin de l'année, les employés sont informés qu'ils ne toucheront pas de primes car ils n'ont atteint que 4 objectifs. Parmi les objectifs à côté desquels ils sont passés : le "moral des employés".
Dilbert - Absurdité 1
Une grande société n'hésite pas à lancer 2 projets en même temps :
- un programme de contrôle inopiné de prise de drogue
- un programme de "protection de la diginité personnelle"
dimanche 20 novembre 2005
mercredi 16 novembre 2005
Freud a dit "Le diable est encore le meilleur subterfuge pour disculper Dieu." mais aussi "Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées.". Faut-il penser que Freud croyait que Dieu avait des pulsions ?
Au fait, pourquoi pense-t-on que Dieu est un homme ? Quelles preuves a-t-on ?
Au fait, pourquoi pense-t-on que Dieu est un homme ? Quelles preuves a-t-on ?
mardi 15 novembre 2005
Si nous vivions dans un monde à 2 dimensions, n'aurais-je qu'un seul hémisphère ?
Comment devrions-nous concevoir les lustres afin de les alimenter en électricité tout en permettant aux personnes de se déplacer dans le plan ?
Aurions-nous des portes dans cet univers ?
A quoi ressembleraient les ascenseurs ?
Dans un monde à 4 dimensions, peut-on emprunter un bus à plusieurs pour voyager dans le temps ? Si oui, chacun se déplace-t-il dans "son" temps ? Sinon, est-ce que ça veut dire que nous venons de découvrir le véhicule de voyage dans la 5e dimension (le voyage dans le temps d'un autre) ? Ce véhicule serait-il le bus ? Dans quel temps voyagerait-on ? Celui du chauffeur de bus ?
Comment devrions-nous concevoir les lustres afin de les alimenter en électricité tout en permettant aux personnes de se déplacer dans le plan ?
Aurions-nous des portes dans cet univers ?
A quoi ressembleraient les ascenseurs ?
Dans un monde à 4 dimensions, peut-on emprunter un bus à plusieurs pour voyager dans le temps ? Si oui, chacun se déplace-t-il dans "son" temps ? Sinon, est-ce que ça veut dire que nous venons de découvrir le véhicule de voyage dans la 5e dimension (le voyage dans le temps d'un autre) ? Ce véhicule serait-il le bus ? Dans quel temps voyagerait-on ? Celui du chauffeur de bus ?
samedi 14 mai 2005
Definition - Delirium
de·lir·i·um n. pl. de·lir·i·ums or de·lir·i·a (--)
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vendredi 13 mai 2005
Definition - Insanity
in·san·i·ty (n-sn-t)
n. pl. in·san·i·ties
n. pl. in·san·i·ties
- Persistent mental disorder or derangement. No longer in scientific use.
- Law.
- Unsoundness of mind sufficient in the judgment of a civil court to render a person unfit to maintain a contractual or other legal relationship or to warrant commitment to a mental health facility.
- In most criminal jurisdictions, a degree of mental malfunctioning sufficient to relieve the accused of legal responsibility for the act committed.
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- Extreme foolishness; folly.
- Something that is extremely foolish.
Synonyms: insanity, lunacy, madness, mania, dementia
These nouns denote conditions of serious mental disability. Insanity is a grave, often prolonged condition that prevents a person from being held legally responsible for his or her actions: was judged not guilty for reasons of insanity. Lunacy often denotes derangement relieved intermittently by periods of clear-mindedness: yelled wildly in a moment of utter lunacy. Madness often stresses the violent aspect of mental illness: a story about obsession and madness. Mania refers principally to the excited, or manic, phase of bipolar disorder: prescribed drugs to control the patient's periods of mania. Dementia implies mental deterioration brought on by an organic brain disorder: underwent progressive stages of dementia.
Definition - Sanity
san·i·ty (sn-t) n.
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