jeudi 21 août 2014

Back in the days

Save this moment for later so you can call it
Back in the days [3x]
Ooooohoh
[2x]

You can't go ba-ba-back in the days
'Cause there ain't no ba-ba-back in the days
Try to let go ba-ba-back in the days
Right here, right now is the hyper phrase

You know what?

Yes we can represent, the Harder Styles 'cause we're back again
Back again to represent, the Harder Styles just because we can
[2x]

Save this moment for later so you can call it
Back in the days [3x]
Ooooohoh
[2x]

You can't go ba-ba-back in the days
'Cause there ain't no ba-ba-back in the days
Try to let go ba-ba-back in the days
Right here, right now is the hyper phrase

mercredi 20 août 2014

Déduction logique de l'expérience du chat de Schrödinger

Le chat de Schrödinger est une illustration du problème de la mesure quantique. La mécanique quantique décrit des système microscopiques - des particules subatomiques, des atomes, des molécules - à l'aide d'un formalisme mathématique appelé fonction d'onde. A partir de la fonction d'onde, on peut prévoir les probabilités d'obtenir divers résultats quand on effectue des mesures sur le système.
Dans l'expérience du chat de Schrödinger, la mécanique quantique prévoit que la moitié du temps, le chat sera mort, et l'autre moitié du temps vivant. Le problème, c'est qu'avant la mesure, la fonction d'onde ne vous dit pas ce que va être le résultat; elle vous dit seulement que chacun d'eux a une chance sur deux de se réaliser. Mais une fois que vous avez fait la mesure, une deuxième mesure sur le même système donnera toujours le même résultat; si le chat est mort la première fois que vous avez regardé, il sera toujours mort si vous regardez de nouveau.
En termes de fonction d'onde, le fait d'effectuer la mesure a - d'une certaine manière - transformé un mélange de deux ondes, représentant les deux possibilités, en une onde "pure" - qu'on appelle un état propre - qui n'en représente qu'une. C'est ce qu'on appelle la "réduction du paquet d'ondes". Dans la théorie des univers multiples, le paquet d'ondes n'est pas réduit. C'est tout l'univers qui se scinde en versions différentes, une pour chaque mesure possible. Dans un univers, le chat est mort  et un expérimentateur a constaté son décès; dans un autre univers, il est vivant et c'est bien ce que l'observateur a vu.
Nous passons tous notre vie à réduire les systèmes avec lesquels nous interagissons.
Pour réduire un paquet d'ondes il ne suffit pas d'avoir un "appareil de mesure", vous devez avoir un "observateur", un être ayant conscience de lui-même, un être humain.
Avant qu'un de nos ancêtres n'ait appris ce tour, l'univers devait être un endroit radicalement différent de celui que nous connaissons. Tout arrivait simultanément; toutes les possibilités coexistaient. Le paquet d'ondes n'était jamais réduit, il ne faisait que se complexifier de plus en plus. Cela peut sembler ridiculement anthropocentrique de penser que la vie sur cette planète a pu être à ce point différente - mais avec tant de richesse, tant de complexité dans l'univers, peut-être qu'il était inévitable que, quelque part, une créature se développe qui ébranlerait tout cela - qui annihilerait la diversité à l'origine même de son existence. Nous ne sommes pas seulement l'univers qui a "conscience de lui-même" - nous sommes l'univers qui se décime lui-même, par le simple acte d'accéder à cette conscience.
Le premier animal qui sur la Terre a possédé cette caractéristique a réduit l'univers tout entier. Peut-être que ce n'était pas sur la Terre mais il n'y a aucune raison de penser que ça n'a pas été le cas. Quelqu'un a bien du être le premier.
Par un simple coup d’œil superficiel vers le ciel nocturne cet ancêtre aura réduit considérablement les possibilités, il aura fixé la Terre et le soleil, pour commencer, les aura condensés à partir d'un mélange de tous les arrangements possibles de la matière qui auraient pu occuper le système solaire. Puis les étoiles les plus brillantes dans la limite de son acuité visuelle, réduisant à néant toutes les configurations alternatives possibles. Pensez aux constellations qui auraient pu exister; aux étoiles et aux mondes qui ont disparu pour toujours quand notre fameux ancêtre a ouvert les yeux. Cet ancêtre a transformé ce grandiose et glorieux mélange de tous les univers possibles qui auraient pu se réaliser depuis le Big Bang en la fraction minuscule de cet ensemble lui donnant une vision unique du ciel nocturne. Il a effacé tout le reste. Comme un génocide cosmologique.
Nous avons réduit toute forme de vie antérieure à la nôtre ne réduisant pas elle-même le paquet d'ondes. Ce qui signifie peut-être l'anéantissement de civilisations entières. Et nous continuons à le faire, à réduire les choses éloignées de plusieurs années-lumières, d'autres étoiles, d'autres galaxies, d'autres formes de vie. Nous réduisons les possibilités. Nous taillons dans l'univers - simplement en l'observant.
Il va bien falloir que quelqu'un nous arrête, ça serait mérité, non ?

mardi 19 août 2014

Le troll

Discuter avec un troll, c’est comme essayer de jouer aux échecs avec un pigeon. Tu as beau être très fort aux échecs, il arrive, renverse les pièces, chie sur l’échiquier et s’en va avec l’air supérieur comme s’il avait gagné.

dimanche 17 août 2014

Retour vers le futur - De Groodt

Albert II / Elizabeth II

Invitée : Nabilla Benattia

Vous le savez peut-être, et si vous ne le savez pas je vais vous le dire, ça vous évitera de l’ignorer, mais Albert II, roi de Belgique, qui sans vouloir prêter la Flandre à la critique rend plus belge la vie, est né le 6 juin !
Eh oui, quelle drôle D-day !…

Étant moi-même de confession belge par la mère de mon frère et bruxellois par mon père, mon fisc et mon saint-esprit, il était tout naturel, ou Paturel si je m’étais appelé Sabine, que je parte à la rencontre de Sa Majesté, enfin ma majesté, ou même papajesté – comme c’est un mâle – afin d’user, comme tout bon sujet, de mon verbe pour faire des compliments à ce roi qui règne sur le pas pays qui est le mien.

À peine arrivé à mon point de départ, sans bouger de chez moi quoi, je pris la direction du Palais, où un garde royal un peu gelé m’informa que le roi, sa femme et le p’tit prince étaient justement partis chez moi ! N’ayant plus le temps de serrer la pince de Monseigneur je m’en retournai Anvers et contre tous non sans lui transmettre mes hommages et intérêts par sms… oui, j’avais téléchargé « l’appli Birthday »…

Changement de programme donc. Heureusement, connaissant les ficelles du protocole, ayant donc plusieurs cordes à monarques, je me rappelai que la reine Elizabeth, comme ses pieds, célébrera le 4 juin prochain ses soixantes années passées sur le trône ! Un bel hommage à l’Elizabeth fessier… qui avec son insulaire de ne pas y toucher est quand même la descendante du George V. Et si on la chambre avec ça, elle n’est pas-lasse de répéter qu’elle est surtout la fille de George VI, roi Bègue dont les valets-rient encore de ses discours.

Une fois arrivé sur la perfide d’Albion, un taxi me conduisit, avec au volant un Maya, à l’abbaye de Westminster où je trouvai porte close ! Ben oui, comme c’était jour de fête, il faisait le pont-l’abbé… Pas de quoi en faire un fromage, « not to do with a cheese », je décidai de me rendre directement à Buckingham, à Buckingham, Barbara toujours dans nos cœurs. Oui, j’aime le chant-point !

Une fois sur place, shake spire un grand coup, je shake la main de William, make the bise to Kate, puis rejoins son altesse-et-go dans le canapé du salon où elle propose un thé Mariage, pour tous. Ensuite elle s’assied, je m’assied, on s’assied quoi ! Rien de très… Au bout de ses jambes ses pieds, à ses pieds ses chiens, à ses chiens des poils, à ces poils des pattes, à ces pattes, oui bon…

Arrive alors son fils Charles, le prince de France Galles, suivi de son père, le prince consort. Qu’on Windsor presque plus d’ailleurs car il est un peu à côté de ses grandes pompes sous son kilt écossais à petits pois…

Histoire de ne pas la laisser comme deux ronds de jelly, c’est comme deux ronds de flan, mais moins bon… je me permets de dire à celle qui porte la couronne dans cette baraque qu’il serait peut-être temps de passer les rênes du pouvoir ou les pouvoirs de la reine, enfin de passer la main, quoi…

Elle me dit que pour éviter la foire du Trône il ne faut pas lâcher la proie pour Londres. Qu’il faut habilement tisser sa toile car Charles n’est pas encore homme-à-régner. Et encore moins Camilla qu’elle connaît Parker et qui n’a pas les balls pour relever le défi.

Prenant alors congé, réalisant la charge qui pèse au-dessus de la poire de William, je me dis qu’il en aurait été autrement si Diana n’avait pas coupé les ponts…

vendredi 8 août 2014

Again, I'm not crazy

- I'm not crazy, I'm just creatively INSANE!
- I'm not crazy, my reality is just different than yours
- I'm not crazy, I'm rehearsing my lines
- I'm not crazy, you're the one that's crazy
- I'm not crazy, I talked it with myself and it turns out I'm ok with it...
- I'm not crazy, it's just that my toaster tells me to kill women
- I'm not crazy, I'm caffeinated
- I'm not crazy, I'm mentally unrestricted